Jtai dans la tĂȘte y'a rien Ă  faire Faudrait peut-ĂȘtre que ça s'arrĂȘte J'ai dans le cƓur un bras de fer Entre toi, et ma crise de nerfs C'est vrai que l'on se lasse, quand nos nuits s'Ă©moussent Quand nos corps se dĂ©lassent, s'Ă©claboussent T'as gagnĂ© c'est une impasse, putain de colĂšre qui nous pousse Et nos sentiments s'effacent, encore une secousse MĂȘme pas en rĂȘve On aurait
Paroles de la chanson Et L'on N'y Peut Rien par Jean Jacques Goldman Comme un fil entre l’autre et l’un Invisible, il pose ses liens Dans les mĂ©andres des inconscients Il se promĂšne impunĂ©ment Et tout un peu tremble Et le reste s’éteint Juste dans nos ventres Un nƓud, une faim Il fait roi l’esclave Et peut damner les saints L’honnĂȘte ou le sage Et l’on n’y peut rien Et l’on rĂ©siste on bĂątit des murs Des bonheurs, photos bien rangĂ©es Terroriste, il fend les armures, Un instant tout est balayĂ© Tu rampes et tu guettes Et tu mendies des mots Tu lis ses poĂštes Aime ses tableaux Et tu cherches Ă  la croiser T’as quinze ans soudain Tout change de base Et l’on n’y peut rien Il s’invite quand on l’attend pas Quand on y croit, il s’enfuit dĂ©jĂ  FrĂšre qui un jour y goĂ»ta Jamais plus tu ne guĂ©riras Il nous laisse vide Et plus mort que vivant C’est lui qui dĂ©cide On ne fait que semblant Lui, choisit ses tours Et ses va et ses vient Ainsi fait l’amour Et l’on n’y peut rien On n’y peut rien
Etl’on se dit qu’aprĂšs tout : On n’y peut rien, y’a rien Ă  faire On n’y peut rien, faut pas s’en faire On n’est qu’un petit grain de sable TombĂ© d’une lointaine Ă©toile On n’y peut rien, y’a rien Ă  faire Mais tous les enfants de la Terre Un jour se donneront la main Ce
Comme un fil entre l'autre et l'unInvisible, il pose ses liensDans les mĂ©andres des inconscientsIl se promĂšne impunĂ©mentEt tout un peu trembleEt le reste s'Ă©teintJuste dans nos ventres La suite des paroles ci-dessous Un nƓud, une faimIl fait roi l'esclaveEt peut damner les saintsL'honnĂȘte ou le sageEt l'on n'y peut rienEt l'on rĂ©siste on bĂątit des mursDes bonheurs, photos bien rangĂ©esTerroriste, il fend les armures,En un instant tout est balayĂ©Tu rampes et tu guettesEt tu mendies des motsTu lis ses poĂštesAimes ses tableaux La suite des paroles ci-dessous Et tu cherches Ă  la croiserT'as quinze ans soudainTout change de baseEt l'on n'y peut rienIl s'invite quand on ne l'attend pasQuand on y croit, il s'enfuit dĂ©jĂ FrĂšre qui un jour y goĂ»taJamais plus tu ne guĂ©rirasIl nous laisse videEt plus mort que vivantC'est lui qui dĂ©cideOn ne fait que semblantLui, choisit ses toursEt ses va et ses vientAinsi fait l'amourEt l'on n'y peut rienEt l'on n'y peut rien Les internautes qui ont aimĂ© "Et l'on n'y peut rien" aiment aussi
lesĂȘtres et nos solitudes de peu de mots par oĂč s’en-gouffrent sans le dire ou presque, et sous la forme riante et apparemment inoffensive, l’ineffable atroce du dĂ©sir, l’indicible des regrets et l’impartageable des amours. paroles recueillies Sirocco Sophie (mĂ©caniquement) — Un secret c’est. Deux points.
LĂ -bas Tout est neuf et tout est sauvage Libre continent sans grillage Ici, nos rĂȘves sont Ă©troits C’est pour ça que j’irai lĂ -bas LĂ -bas Faut du cƓur et faut du courage Mais tout est possible Ă  mon Ăąge Si tu as la force et la foi L’ or est Ă  portĂ©e de tes doigts C’est pour ça que j’irai lĂ -bas N’y va pas Y’a des tempĂȘtes et des naufrages Le feu, les diables et les mirages Je te sais si fragile parfois Reste au creux de moi On a tant d’amour Ă  faire Tant de bonheur Ă  venir Je te veux mari et pĂšre Et toi, tu rĂȘves de partir Ici, tout est jouĂ© d’avance Et l’on n’y peut rien changer Tout dĂ©pend de ta naissance Et moi je ne suis pas bien nĂ© LĂ -bas Loin de nos vies, de nos villages J’oublierai ta voix, ton visage J’ai beau te serrer dans mes bras Tu m’échappes dĂ©jĂ , lĂ -bas J’aurai ma chance, j’aurai mes droits N’y va pas Et la fiertĂ© qu’ici je n’ai pas LĂ -bas Tout ce que tu mĂ©rites est Ă  toi N’y va pas Ici, les autres imposent leur loi LĂ -bas Je te perdrai peut-ĂȘtre lĂ -bas N’y va pas Mais je me perds si je reste lĂ  LĂ -bas La vie ne m’a pas laissĂ© le choix N’y va pas Toi et moi, ce sera lĂ -bas ou pas LĂ -bas Tout est neuf et tout est sauvage N’y va pas Libre continent sans grillage LĂ -bas Beau comme on n’imagine pas N’y va pas Ici, mĂȘme nos rĂȘves sont Ă©troits LĂ -bas C’est pour ça que j’irai lĂ -bas N’y va pas On ne m’a pas laissĂ© le choix LĂ -bas Je me perds si je reste lĂ  N’y va pas C’est pour ça que j’irai lĂ -bas N’y va pas Paroles2Chansons dispose d’un accord de licence de paroles de chansons avec la SociĂ©tĂ© des Editeurs et Auteurs de Musique SEAM
Bonjour je chante des chansons que je parodie et recherche Ă  coller mes propres paroles sur karafun. merci de votre aide et bonne fĂȘtes Ă  tous ! Guy-Ange. Moi aussi ( 9) Posez votre question. A voir Ă©galement: Modifier les paroles d'un karaokĂ©. Changer les paroles d'un karaokĂ© - Meilleures rĂ©ponses.
Paroles et phrases ou citations, ou les enseignements oraux de Philippe de Lyon de Monsieur Nizier Anthelme Philippe, sont Ă  mĂ©diter. Dans les pensĂ©es, ou dans les priĂšres, Ă©galement
. beaucoup d’étonnants messages tout Ă  fait d’ karmaLe karma est destinĂ© Ă  payer ses dettes pour faire Ă©voluer L’Evangile vous dit bien que les petits-enfants paieront les dettes des grands-parents jusqu’à la cinquiĂšme gĂ©nĂ©ration et quelquefois jusqu’à la notre Ăąme n’était pas malade, notre corps ne le serait pas non plus. 4-12-1893Quelquefois l’esprit peut demander que le corps ne guĂ©risse pas, afin de souffrir encore. L’hĂ©rĂ©ditĂ©. Parfois dans une mĂȘme famille tous les enfants sont atteints de la mĂȘme maladie. C’est une façon de payer les dettes. L’Evangile vous dit bien que les petits-enfants paieront les dettes des grands, parents jusqu’à la cinquiĂšme gĂ©nĂ©ration et quelquefois jusqu’à la septiĂšme. 16-4-1896C’est une erreur de croire que les maladies sont hĂ©rĂ©ditaires. Ce qui est hĂ©rĂ©ditaire, c’est le mal moral commis par un membre d’une famille, lequel est obligĂ© de revenir payer sa dette ou expier sa faute. Mais il faut pour cela que les tĂ©moins de cette faute soient prĂ©sents, sinon le pardon mĂȘme de cette faute serait sans valeur. Celui qui vient pour expier une faute obĂ©it Ă  une force irrĂ©sistible, rien ne pourrait l’en empĂȘcher. La folie. La plupart des cas de folie ne sont que des possessions. Je vous en donnerai une guĂ©rir les malades, il faut les connaĂźtre depuis plusieurs siĂšcles, lire sur leur front et dans leur coeur et pouvoir leur dire Allez, vos pĂ©chĂ©s vous sont remis. Pour cela il ne faut pas avoir peur de descendre comme font les racines d’un arbre, et vous aurez un cĂŽtĂ© dans le Ciel et l’autre dans le Vie, l’Amour et la LumiĂšre Ă©tant en vous, vous saurez tout et vous pourrez agir comme bon vous semblera.24-3-1903C’est cette maniĂšre qu’on emploie ici sĂ©ances. C’est la plus simple et la plus difficile. Je n’agis ni par magnĂ©tisme ni par passes. Je passe devant vous, vous me dites ce que vous avez ; au moment oĂč vous m’expliquez ce que vous ressentez il se passe quelque chose de surnaturel en vous et, si mon Ăąme entend vos paroles, vous ĂȘtes guĂ©ri sur-le-champ. 5-7-1896Si vous aviez la charitĂ©, vous obtiendriez le soulagement et la guĂ©rison de ceux qui n’y a qu’à demander Ă  Dieu. Avec la confiance et la foi on soulĂšverait des montagnes. Ne l’avez-vous pas lu aussi dans l’Evangile? 30-11-1893Pour soulager les malades il faut demander Ă  Dieu le pardon de leurs fautes et, au mĂȘme instant, l’ñme se sent rĂ©confortĂ©e et le corps s’en trouve par la suite soulagĂ©. Si l’on avait la foi, on se soulagerait tous les uns les autres. 5-11-1889Quand on demande pour un malade, le Ciel accorde en proportion de l’actif du malade et de la personne qui demande. Le malade sera guĂ©ri ou soulagĂ©, ou on lui donnera du courage pour supporter son Ciel ne saurait guĂ©rir sans laver, sans pardonner et effacer les fautes. 6-2-1904Les maladies peuvent se guĂ©rir pourvu que les malades le veuillent bien; mais souvent ils se refusent Ă  reconnaĂźtre qu’ils ont pu faire le mal et Ă  demander pardon. Ils se croient purs, parfaits, sans reproche. Vous m’objecterez que ces mauvaises pensĂ©es leur sont inspirĂ©es par ceux qui les entourent. Peu avaient cherchĂ© Ă  avoir de bonnes pensĂ©es, ils n’en recevraient pas de mauvaises. L’ñme qui possĂšde la LumiĂšre peut en s’approchant du malade le soulager, car le mal a horreur de la LumiĂšre et fuit alors, momentanĂ©ment. Vous pouvez dĂ©fendre au mal de revenir, c’est bien est inutile de chercher Ă  savoir pourquoi un malade a telle ou telle maladie ; l’essentiel, c’est de marcher en aimant son semblable, c’est tout ce que Dieu demande. 16-11-1893Une personne qui aurait confiance en Dieu pourrait dire Ă  celle qui souffre Que ton bras, que ta jambe soient guĂ©ris, et ils seraient guĂ©ris. 12-2-1902On peut se priver pour soulager quelqu’un, mais il faut le faire d’abord et non aprĂšs que le Ciel a exaucĂ© notre demande. Le vĂ©ritable jeĂ»ne, c’est de se priver mĂȘme du nĂ©cessaire pour donner Ă  celui qui n’a pas. 21-2-1895Une chose trĂšs simple, de l’eau mĂȘme, fera du bien au malade, si l’intention est de faire du bien. 5-2-1902L’oubli est une sorte de pardon, le plus un de nos organes oublie son mal, c’est le commencement de toute guĂ©rison. Soyez complĂštement dĂ©sintĂ©ressĂ©s. Si vous ĂȘtes malade et que vous demandiez la guĂ©rison dans une priĂšre, que ce ne soit pas pour en retirer un profit ou une satisfaction personnelle, mais bien pour que d’autres que vous en profitent. 14-4-1903Si l’on est guĂ©ri d’une maladie quelconque, c’est que notre Ăąme est dĂ©gagĂ©e, c’est une grande grĂące qui est accordĂ©e. Il faut se pĂ©nĂ©trer que quelqu’un s’est chargĂ© de ce fardeau. 15-1-1895Il faut que le magnĂ©tiseur sache ce que c’est que de souffrir corps et esprit ; c’est pourquoi il y a des personnes qui ont tant de pouvoir magnĂ©tique. 18-7-1897Il y a un grand nombre de magnĂ©tiseurs et de spirites qui agissent en prenant consciemment ou non le mal d’une personne pour le mettre chez une autre ; le mal est en effet intelligent comme vous et, en lui parlant, il vous entend. Quelques-uns le font par intĂ©rĂȘt, d’autres par ignorance. Mais ici, vous avez pu le voir, le mal est changĂ© de nature en passant par nos mains. Et notre but Ă©tait de faire des magnĂ©tiseurs qui eussent les mains assez propres et la conscience pure pour que, en passant par leurs mains, le mal ne restĂąt pas mal mais devĂźnt vous pouvez vous soulager, vous guĂ©rir mĂȘme les uns les autres par le magnĂ©tisme sur les parties malades et en demandant Ă  Dieu. Mais, pour ĂȘtre exaucĂ©, il ne faut pas avoir de rancune contre personne, aimer son prochain comme soi-mĂȘme, et ne pas compter sur ses propres forces qui ne sont rien, mais sur Dieu. 7-1-1894Lorsque vous n’aurez plus d’orgueil et que vous saurez que vous n’ĂȘtes rien, vous obtiendrez par le magnĂ©tisme d’aussi bons rĂ©sultats sur vous que sur les autres malades. 22-1-1902Il y a des cas oĂč la mĂ©decine spirituelle ne saurait agir ; ce sont les cas oĂč nulle oeuvre n’a Ă©tĂ© faite pour le Ciel. Alors la mĂ©decine matĂ©rielle homĂ©opathie, allopathie peut encore agir, car la matiĂšre cherche toujours Ă  s’accroĂźtre et elle peut avoir mĂ©ritĂ© de le faire. Un mĂ©decin n’a le droit d’opĂ©rer quelqu’un chirurgicalement ou mĂȘme de soigner mĂ©dicalement que s’il obtient de lui la promesse d’une amĂ©lioration morale quelconque. Sans cela le malade et le mĂ©decin sont coupables et responsables. Si, au contraire, il agit ainsi, il lui suffit de soigner son malade et il guĂ©rit. Un mĂ©decin ne guĂ©rit jamais, il n’est que l’instrument de la au contraire le mĂ©decin conjure le mal de partir, ils le voient. Et alors deux cas peuvent se produire. Ou le mĂ©decin sera le plus fort et on lui obĂ©ira parce qu’on aura reconnu son titre et sa puissance, ou il sera le plus faible et n’aura aucun titre Ă  conjurer. Alors il arrivera ce qui arriverait Ă  un cordonnier se jetant sur un malade avec son tranchet et voulant chasser les mĂ©decins qui l’entourent on l’ mĂ©dicament, pour faire tous ses effets, doit ĂȘtre dĂ©sirĂ© et demandĂ© par l’organe malade. Les mĂ©decins croient qu’ils n’ont qu’à Ă©crire toujours la mĂȘme formule. Ils oublient que, en un siĂšcle, saisons, maladies, tempĂ©rature, remĂšdes, vie terrestre, essences vĂ©gĂ©tales changent, dans les bĂȘtes et dans les plantes. 30-4-1903.Rien n’est mort, tout est intelligent. C’est ce que ne savent pas les savants et ce qui les dĂ©route. Ainsi un inventeur dĂ©couvre les propriĂ©tĂ©s d’un mĂ©dicament. Il l’administre pendant cinq ou six mois et les malades sur lesquels il expĂ©rimente sont guĂ©ris. Puis, au bout de ce temps, la vertu du remĂšde s’éteint. Cela tient Ă  ce que la Nature aime la simplicitĂ© et dĂ©teste l’orgueil. La vertu a disparu au fur et Ă  mesure de l’apparition de la cupiditĂ© du pharmacien ou du fabricant qui tirent sans permission du Ciel et pour leur propre gloire ou leur propre satisfaction un profit dĂ©raisonnable du remĂšde. 5-2-1902Les remĂšdes – Les plantes. Les simples, les plantes, ont chacune leur action propre sur une maladie. La plante qui doit guĂ©rir est au voisinage mĂȘme de l’endroit d’oĂč peut naĂźtre la maladie ou l’ Nature a toujours mis le remĂšde Ă  cĂŽtĂ© du mal. Ainsi les plantes qui poussent sur les rochers escarpĂ©s sont propres Ă  guĂ©rir des chutes et des contusions. Les plantes utiles mĂ©dicalement sont, par ordre de puissance le serpolet, l’absinthe, le genĂ©vrier, le houx dont on peut tirer un mĂ©dicament pour l’estomac, le gui qui peut fournir le meilleur anesthĂ©sique, et le muguet. Le muguet est un adoucissant. Le houx pourra guĂ©rir les congestions aiguĂ«s, angines, raideur des membres, exostoses. C’est un puissant mĂ©dicament. De toutes les autres plantes le miel contient la quintessence. Le miel peut ĂȘtre employĂ© dans toutes les angines, mais il ne faut pas le gĂ©nĂ©ral les plantes Ă  odeur douce et suave, faible, sont plus le parfum est en effet une vertu de la plante qui ne demeure pas ; et, comme une plante ne peut pas tout avoir, si elle a un fort parfum, elle a peu d’action mousse contient en elle-mĂȘme une puissance vivifiante. Mettez de la mousse dans l’eau, elle deviendra plus active. Mettez-en dans une terre aride, cette terre deviendra capable, au bout de peu de temps, de nourrir de la vigne. La mousse est une vĂ©ritable terre vierge. Celle qui naĂźt au pied des rochers est particuliĂšrement active ; elle reçoit en effet la poussiĂšre de la roche Ă  sa formation mĂȘme, et permet la naissance de la terre vĂ©ritablement vierge. Le tabac en applications, imbibĂ© ou non d’alcool, est un remĂšde contre les engorgements ganglionnaires scrofuleux. Les plantes rugueuses ont une action sur les maladies de la peau.— Même quand les choses viennent en leur temps il faut les payer ; à plus forte raison faut-il payer très cher si l’on veut qu’elles viennent avant leur temps. Mieux vaut laisser les choses se faire à leur heure.— Partis les uns après les autres pour le travail, nous arriverons tous en même temps au but.— Parler trop tôt ou enseigner à un être des vérités prématurées, c’est l’étioler, lui faire du mal, l’étioler de l’autre côté, ce qui est plus grave que de ce côté-ci, car c’est de l’autre côté qu’on acquiert vraiment la lumière.— Toutes les explications ne sont pas toujours à la portée de tous. Quelques personnes pourront se souvenir, et d’autres pas du tout. C’est qu’il est donné à chacun ce que son estomac peut digérer. Ainsi un petit enfant qui a besoin de lait ne pourra supporter une alimentation plus lourde. Celui qui se rappelle comprend ce dont il se rappelle. Et ici, pour tous, on peut trouver ce qui est approprié il y a pour les enfants, pour les adultes et pour les vieillards.— Pas une fibre de notre corps n’existe sans qu’elle se rattache à quelque chose faisant partie de la nature. Ainsi telle partie de notre corps a des ramifications avec une plante qui, à son tour, la relie à un animal. Voilà pourquoi parfois on trouve une ressemblance. Soyez persuadés que cette ressemblance peut nous faire juger le caractère de la personne, mais nul ne doit juger son frère.— Voilà un Monsieur qui, il y a encore peu de temps, disait Nous ne pouvons descendre que de l’animal ». Non. L’animal peut arriver à se perfectionner jusqu’à sembler au niveau de l’Homme. L’Homme a été créé sur la terre et sur bien d’autres terres, car il ne faut pas croire qu’il n’y en ait qu’une, de même qu’il y a plusieurs ciels, et cela depuis avant la création. Ne croyez-vous pas que la plante pense, qu’elle sente ? Non, me direz-vous, puisqu’elle ne parle pas, elle est un corps inanimé. Non, elle ne parle pas, pas plus que le cheval qui ne pourrait rien dire non plus si on lui coupait la tête. Et pourtant si, ils pensent, ils ont un langage et se comprennent entre eux ainsi que leurs espèces, et ils ont aussi des lois qui les régissent.— En réalité nous n’avons besoin de personne pour nous instruire car nous avons en nous tout ce qu’il faut pour faire croître la petite plante qui est dans notre cƓur. Ce ne sont que l’orgueil, l’égoïsme, la méchanceté qui l’étouffent et l’empêchent de s’épanouir.— Dieu peut toutes choses, et l’homme ne descend pas du singe comme quelques personnes le croient. Quant aux ressemblances de visage avec certains animaux, je vous en donnerai l’explication un autre les paroles qui sortent de notre bouche ont la vie, nous ne devons pas dire de paroles inutiles parce qu’elles sont comptĂ©es. L’homme est responsable de ses paroles, mĂȘme s’il ne sait pas ce qu’il dit, et plus tard ces paroles inutiles seront pour lui des entraves. Les paroles inutiles engendrent des distractions quand, ensuite, on veut ĂȘtre attentif Nos idĂ©es ont quelque chose de vivant, et toutes les idĂ©es inutiles seront plus tard des entraves. La responsabilitĂ© de nos Ă©crits reste tant qu’ils durent Quand on lit des livres, si savants soient-ils, on puise Ă  la fois le vrai et le faux et l’on progresse simultanĂ©ment dans l’un et dans l’autre ; tout se dĂ©veloppe ; mais, comme le bien l’emporte toujours, Ă  la fin il demeure seul. Les bons Ă©crits sont ceux qui apprennent la patienceOu encore— N’enfouissez pas les richesses dans des coffres, mais servez-vous-en Ă  faire vivre des hommes, des enfants, ou, si vous ne pouvez pas, des animaux, chiens, chats, oiseaux, etc. Heureux les dĂ©bonnaires !— Un simple verre d’eau donnĂ© avec amour peut faire beaucoup de bien.— On dit souvent Oh, telle personne est bonne ; elle a laissĂ© telle somme en mourant
 Eh oui, elle l’a laissĂ©e, parce qu’elle n’a rien pu emporter. C’est de son vivant qu’elle aurait bien fait de la donner.— Si nous rencontrons un malheureux, nous devons ĂȘtre sa providence, l’aider selon nos moyens, car c’est un frĂšre. Lorsque nous en aurons besoin, le Ciel sera avec nous et tout ce que nous demandons nous sera de vos offenses Ă  Dieu. Vous pouvez l’offenser, mais il faut se garder d’offenser le Saint toutes les religions, car il faut que tous ceux de toutes les religions mangent la Chair et boivent le Sang du MaĂźtre. Mais surtout si vous offensiez votre voisin, il faut que vous alliez lui tendre la main en lui disant j’ai dit beaucoup de mal de vous. S’il vous pardonne, croyez-vous que cela ne vaille pas tout autre pardon ?Pressez-vous pour bien faire car la moisson approche. Celui qui est avec moi m’a dit de vous parler ainsi Respecter les lois des gouvernements quels qu’ils soient; respectez aussi les lois de l’Eglise, Dieu l’a voulu ainsi ; respectez la religion, toutes les religions, c’est Dieu qui les a on ne veut pas toujours qu’on sache vos affaires ? Quelles affaires ? Est-ce que vous avez quelque chose Ă  cacher ? Tout doit ĂȘtre mis au grand jour. Ah ! Si on mettait tout au grand jour, il y aurait beaucoup de Invisibles –La vie est un contact universel ; tout en l’air est plein d’esprits. Il y a des ĂȘtres qui nous entendent et ne nous voient point. ils nous Ă©coutent comme des dieux. Il y a d’autres ĂȘtres qui travaillent, mais pas comme nous, sans connaĂźtre le mal. Nous ne savons rien. Lorsque nous faisons un mouvement nous croyons le faire par notre propre volontĂ©. Il n’en est rien ; si nous n’étions aidĂ©s, il nous serait impossible de faire le moindre geste. Des ĂȘtres invisibles nous environnent et nous aident. Tous ces ĂȘtres que nous ne voyons pas travaillent pour ClichésRien ne peut naître ici ou rien de ce que nous plantons ne vient ici que si de l’autre côté cela existe déjà. Nous plantons un arbre ; s’il meurt, c’est que le cliché de l’arbre n’était pas là quand nous l’avons ce qui se fait, tout ce qui arrive a été créé depuis le commencement. Chaque chose est représentée par une image ; où elle s’arrête, la chose se passe ; puis elle va plus loin, et la même chose se reproduit, car il y a beaucoup de terres comme la nôtre. Un homme qui pourrait aller aussi vite que la lumière et qui vivrait des milliards de siècles ne pourrait arriver à les compter, et, si l’on pouvait aller aussi vite que la lumière, on verrait toujours les mêmes choses se représenter. Ainsi un homme est dans un pré, il travaille dix heures pour le faucher. Ces dix heures sont inscrites depuis le commencement ; quand elles se sont écoulées ici, elles vont plus loin, sur une terre semblable à la nôtre. Où il y aura un homme qui fauchera un pré pendant le même nombre d’heures. 19-11-1894L’homme ne crée rien, il trouve ou retrouve. Un inventeur est celui qui retrouve une idée ; un autre peut chercher durant sa vie entière et ne rien trouver ; mais son travail n’a été perdu ni pour lui ni pour l’humanité et, si un autre rencontre par hasard l’idée qu’il cherchait depuis si longtemps, cela peut tenir à ce que antérieurement cet être avait lui-même pris l’idée ou l’invention d’un autre travailleur ne peut rien imaginer et rien faire sans la volonté de Dieu. Tout est cliché. Quelle que soit la position de l’âme, elle subit l’impression de ces clichés, aussi bien de face, de côté, que par derrière ; et, par leur impression sur les centres nerveux de la tête, nous pensons et agissons. Tout ce qui arrive est cliché. Il se présente et aussitôt tout contribue à le reproduire matériellement. L’homme qui connaîtrait son existence pourrait le faire venir, le renvoyer, l’avancer ou le retarder et ainsi, en le contrariant, supprimerait ou amoindrirait des malheurs. 24-4-1898On peut donner à ces images le nom de existe dans l’ambiant, à l’état un événement doit se produire, il vient, de toute l’immensité, des molécules pour constituer un cliché. Quelques personnes peuvent jouir d’un don de perception des clichés, celles-là verront se présenter, plus ou moins vivaces, ces clichés et, selon leur vivacité, elles concluront que tel événement doit se produire à telle époque. Les clichés sont vivants et peuvent être évoqués et rendus sensibles à notre intelligence. 24-2-1902Des clichés peuvent circuler, voyager, se croiser, l’un à travers l’autre sans se voir, sans se gêner ; ne savez-vous pas qu’il y a plusieurs appartements dans le même appartement ; Mais si vous venez à vous promener dans une voiture et à rencontrer le cliché d’un accident, votre voiture tourne. Si ce cliché rencontre un train, c’est un déraillement ; deux tramways, une collision. Tout dépend de l’endroit où on se moindre fait à accomplir nous est présenté sous la forme d’un cliché qui sert aussi à plusieurs ne pourriez même pas parler si le cliché de vos paroles n’était pas derrière votre on part avec une idée et on la perd en chemin. Arrivé au but, on ne sait plus ce que l’on voulait faire. C’est que le cliché qui vous avait mis en mouvement ne vous a pas suivi, Alors, en revenant à sa place primitive et dans les conditions où l’on était, on peut souvent retrouver le cliché qui n’est pas encore parti et l’idée vous cliché est intelligent. La pensée est partout ; mais un cliché n’entend pas la voix de l’homme, parce que l’homme n’est pas dans le même appartement que lui. Jamais un cliché ne s’arrête. Il vient derrière la tête d’un individu, près de son cervelet, une première fois, et l’homme cherche, est inquiet ; souvent il ne trouve pas. Le cliché part alors, et vient le cliché du découragement. Si l’homme le repousse, le cliché initial revient, et l’homme et orgueil –Aimer son prochain n’est pas si difficile ; il suffirait de faire des efforts vrais pour le vouloir ; ce sont les efforts qui manquent, et ce qui les paralyse, c’est l’orgueil. Lorsque nous penserons Ă  notre frĂšre avant de penser Ă  nous, nous serons dans le chemin du Ciel On ne doit s’enorgueillir de rien. Lorsqu’on vit dans l’orgueil, on avance peu quoiqu’on fasse ; on marche sur une ligne horizontale ou est la racine de tous les vices ; l’orgueil en est une branche. Lorsque l’orgueil grandit, il arrive un moment oĂč l’individu devient stupide Si vous ĂȘtes trop orgueilleux, vos anges gardiens s’éloignent de vous vous ĂȘtes assez forts pour vous passer d’euxLa priĂšre – Les priĂšres des hommes sont entendues et dĂ©passent la matiĂšre depuis que le Verbe s’est fait chair, car le Christ est venu pour que nous puissions nous adresser au PĂšre. Prier, ce n’est pas prononcer beaucoup de mots, mais c’est s’abĂźmer tous les sens en Dieu. Il faut d’abord se recueillir de façon que tout votre ĂȘtre, tout votre esprit prie avec vous et le sache bien. Il faut que l’étincelle divine prie en nous Priez Dieu. Peu vous importe si un ancien apĂŽtre ou un saint qui se trouvera de l’autre cĂŽtĂ© vous aide Ă  ce que votre priĂšre parvienne, vous n’avez pas Ă  vous en occuper. La priĂšre seule ne peut nous sauver, mais elle donne prise Ă  notre ange gardien pour nous conduire. Il est nĂ©cessaire de prier souvent, avant le sommeil, au rĂ©veil, et enfin Ă©lever sans cesse notre Ăąme vers Dieu Veillez et priez, le Ciel peut tout
 La crĂ©ationSi l’on nous donnait la connaissance du mystĂšre de la crĂ©ation, ce serait pour nous une grande imprudence, car, le sachant, nous ne ferions plus de progrĂšs.— L’Homme est le soleil de l’animal ; l’animal est celui de la peut aller voir le chapitre d’autres paroles ou dans les priĂšresParoles extraites de livres consacrĂ©s Ă  Maitre Philippe rĂ©fĂ©rencĂ©s dans la bibliographie Ou encore la seance des Paroles du 28 dĂ©cembre 1894Citations sur la charitĂ©Ne laissez pas le dĂ©couragement devenir une chuteEnseignements inĂ©ditsAmour et PardonNe pas medire, dire du malLa crĂ©mation ou l’incinĂ©rationCitations ou enseignementsChoisir des paroles Ă  mĂ©diterParoles sur les tentationsCitations ou enseignements Ă  mĂ©diterSagesse dans Vie et parolesCitations Orgueil et fiertĂ©MĂ©ditation sur l’humilitĂ©Du soulagement pour les malades
.Citations sur Les anges. chĂ©rubins, sĂ©raphins
Comment savoir si on a un ange gardien ?Les maladies dont nous pourrions demander la guĂ©risonL’orgueil provoque l’antipathieDes paroles sont publiĂ©es sur Facebook
Hatiket Slimane se laissent aller dans ce titre particuliĂšrement sensible.La voix Ă©corchĂ©e et le cƓur lourd, ils chantent tous les deux une sĂ©paration amoureuse qui les dĂ©truit de l'intĂ©rieur. « Y'a rien » : c'est ce que les deux artistes choisissent comme titre de leur collaboration et c'est peu dire puisque rien ne semble pouvoir les consoler.
Commeun fil entre l’autre et l’un Invisible, il pose ses liens Dans les mĂ©andres des inconscients Il se promĂšne impunĂ©ment. Et tout un peu tremble Et le reste s’éteint Juste dans nos ventres Un nƓud, une faim. Il fait roi l’esclave Et peut damner les saints L’honnĂȘte ou le sage Et l’on n’y peut rien. Et l’on rĂ©siste, on bĂątit des murs Des bonheurs, photos bien rangĂ©es

Etpeut damner les saints. L’honnĂȘte ou le sage. Et l’on n’y peut rien. Et l’on rĂ©siste on bĂątit des murs. Des bonheurs, photos bien rangĂ©es. Terroriste, il fend les armures, Un instant tout est balayĂ©. Tu rampes et tu guettes. Et tu mendies des mots.

LapensĂ©e et l’expression se consti­tuent donc simultanĂ©ment, lorsque notre acquis culturel se mobilise au service de cette loi inconnue, comme notre corps soudain se prĂȘte Ă  un geste nouveau dans l’acquisi­tion de l’habitude. La parole est un vĂ©ritable geste et elle contient son sens comme le geste contient le sien.

Botteset chapeau de cow-boy, Marc, 64 ans, arpente les allĂ©es du marchĂ©, sans rien pouvoir acheter. Ce westerner, ancien marchand de cycles, a, jadis, parcouru l’AmĂ©rique au guidon d’une

\n\n \n \n \net l on y peut rien paroles
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